Aujourd'hui, d'autres touristes arrivent au vol de 11H... On nous prête donc une voiture pour nous ballader à notre guise, seuls.

Je demande à Chin qu'il m'emmène sur le récif puisque je n'ai pas pu y aller la fois précédente. Vous savez, là où il y a l'épave échouée dans les cocotiers...

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C'est également ici que les enfants ont pêché sur le platier... Cette fois, nous nous promemons simplement en ouvrant grand nos yeux: ici un petit poisson, ici des coquillages et dans une cavité, un amas de murènes! Elles étaient au moins 3 ou 4 coincées là, à attendre que la mer les recouvre à nouveau... Je les titille pour que nous puissions les voir d'avantage...

Après un déjeuner avec les nouveaux arrivants, ainsi que la sieste de Mayline, nous décidons d'aller nous promener le long de la plage, derrière la pension (nous passons derrière le bateau et nous dirigeons vers la droite...)

Deux petits gars avec qui jouaient les garçons nous accompagnent, sans rien demander à personne. Ce sont des cousins de Tikehau. Ils vivent leur vie... comme des adultes... du haut de leur 7 ans... comme tous les enfants d'ici.

La plage est vraiment superbe.

Chin s'amusera à photographier des ombres de palmiers tout le long de la promenade...

Une pause goûter à l'ombre des cocotiers avec toute la petite troupe!

Et nous continuons jusqu'à l'extremité de la plage.

A ce niveau, le sable se transforme en sorte de sable mouvant. On s'y enfonce brutalement  jusqu'au mollet à cause des galeries de crabes de mangrove qui envahissent les lieux! Les enfants adorent! moi, moins... mes savates restent coincées dans le sable!

Après avoir marcher difficilement pendant une quinzaine de minutes, nous arrivons à un endroit qui permet de bien voir la particularité de Mataiva... des trous d'eau bleu turquoise d'aspect laiteux qui alternent avec des zones moins profondes beaucoup plus pâles... Tout simplement superbe.

Pour le retour, afin d'éviter le passage "survivant de la mangrove", nous faisons un détour par les cocotiers. C'est plus long, mais c'est moins pénible...

Nous retombons sur la plage (c'est bien connu, tous les chemins mènent à Rome!) et rentrons à la pension en ramassant carapaces de crabes et autres bois flottés de jolis forme...